De l’orientation dans le secondaire et à l’Université

A l’occasion de l’anniversaire des 30 ans de l’installation du Centre d’Information et d’Orientation des Enseignements Supérieurs (CIO-Sup) en Sorbonne, Annick Soubaï, directrice du CIO-Sup a organisé un séminaire, le 13 mars 2017, intitulé  » L’EXPÉRIENCE ÉTUDIANTE EN ORIENTATION : DU MÉTIER D’ÉLEVE AU MÉTIER D’ÉTUDIANT, quels enjeux pour l’accompagnement des jeunes ? « . Je reprends la réflexion concernant la comparaison entre les conceptions de l’orientation dans le secondaire et le supérieur.

L’idée d’orientation dans le supérieur est de fait l’affaire de la personne elle-même, sans doute parce que les personnes concernées sont des adultes alors que dans le secondaire, espace des mineurs, l’orientation fut conçue tout d’abord comme l’exercice d’une autorité sur autrui, sur l’élève et par-delà sur sa famille.

Aux origines

A ma connaissance les premières manifestations d’une aide à l’orientation des étudiants relèvent d’une association, le BUS (Bureau universitaire de statistiques) créé au cours des années 30. Il s’agit d’informer les lycéens à leur demande et à celle de leurs parents. L’information permet aux personnes de décider, celles-ci étant considérées comme étant en capacité de le faire. Dans les années 70, l’ONISEP, un établissement public, reprend la suite avec pour fonction essentielle de produire des documents d’information pour le secondaire et le supérieur. Le personnel du BUS sera intégré à l’éducation nationale, la plupart rejoindra l’ONISEP, et les autres les services d’orientation. Beaucoup chercheront des structures « atypiques » n’intervenant pas dans les établissements et recevant du public, tel que le CIO Interjeune créé par Charles Kaléka à Paris ou le CIO des enseignements supérieurs à la Sorbonne.

Les conceptions de la décision

Qui décide, ou qu’est-ce qui décide ? Ce sont là des questions décisives quant à la conception de l’orientation. Les réponses à ces questions organisent les modalités de l’aide à l’orientation qui vont se mettre en place au cours du XXème siècle.

Si rien n’est fait, c’est la détermination, la reproduction sociale avec le pouvoir parental qui décide de l’orientation, la classe sociale, la place dans la fratrie, ce qu’on appelle les déterminants sociaux. 

La mise en œuvre du système des concours pour rentrer dans l’administration, la fonction publique, par Napoléon Bonaparte permet de s’opposer au système de l’ancien régime, du passe-droit, et de l’achat des charges.

Dans le champ du secondaire, dès 1890, ce qui va servir à décider du passage des élèves dans la classe supérieure ce sont les résultats scolaires. Cette gestion du passage dans la classe supérieure va perdurer jusqu’en 1959. Elle assure le pouvoir institutionnel en s’appuyant sur le pouvoir professoral et les performances scolaires « notées » par les enseignants. Par la mise en place des premières « procédures d’orientation » en 1959 s’ouvre une période de déconstruction de l’autorité sur autrui, période qui n’est pas close aujourd’hui. Les décisions d’orientation sont alors le produit d’arrangements locaux entre autorité enseignante, pression des parents, et attente de l’administration locale (chef d’établissement, inspection académique, rectorat…). J’ai abordé cette histoire des procédures dans de nombreux posts[i].

 Du côté de l’orientation professionnelle qui s’élabore au début du XXème siècle, c’est la « science » (la psychologie), le savoir scientifique qui va organiser la pratique d’orientation. Elle se déclare capable de décrire les aptitudes humaines, de les identifier, de les mesurer chez chacun. Le métier de conseiller d’orientation se créé sur cette capacité à utiliser les tests et à dire ce qu’est la réalité d’une personne afin d’éviter les erreurs dans le choix d’un métier, ou plus exactement le choix d‘une formation. Car en France, l’OP se construit autour de la structuration et de la législation de l’apprentissage. C’est aussi un espace comme pour le champ scolaire, qui porte sur des mineurs, sauf que cette espace n’est pas celui d’une institution. L’autorité parentale s’exerce ainsi que celle du patron qui embauche. Difficile d’obliger ! La seule obligation sera donc celle de présenter un « avis » pour signer le contrat d’apprentissage, et la seule autorité sera celle liée à la contre-indication médicale qui interdit l’entrée dans une formation considérée comme dangereuse pour la personne elle-même ou pour autrui. Du coup le conseiller d’OP qui détient le savoir sur l’autre, ne peut que … « conseiller »[ii]. Frustration du conseiller, le modèle de la « cité juste » reste à l’horizon…

Et vient l’éducation

Et ce sera de la critique de cette conception scientifique que naitra la conception éducative de l’orientation. Pierre Naville puis Antoine Léon vont remettre en cause l’innéité des aptitudes. S’il existe des aptitudes elles sont le fruit d’une construction sociale qui dépend de la place sociale et du parcours (comme on dirait aujourd’hui) de la personne. D’où l’idée que pour s’opposer au déterminisme social il est nécessaire de développer une « psycho-pédagogie de l’orientation » (A. Léon).

D’une manière générale, on peut remarquer que la/les conceptions de l’orientation en France sont d’abord « politiques » ! Obtenir à la fois le mieux pour la société et la personne en s’opposant aux déterminismes sociaux.

Mais il faut remarquer de plus que la vision « éducative » de l’orientation a été combattue dans un premier temps, par les services de l’orientation eux-mêmes, puis ignorée dans un deuxième temps lorsque cette conception est revenue, cette fois-ci de l’étranger[iii].

Et ce retour venait tout d’abord du Québec avec l’ADVP (l’activation du développement vocationel et personnel) puis des USA avec l’EAC (éducation à la carrière de Keneth Hoyt). « Dans les années 80, la pratique québécoise est reprise par diverses associations françaises, mais pas l’EAC. Je me suis posé la question : pourquoi ? Problème sans doute de la langue et donc de l’accès à la littérature scientifique ou pratique. Après coup, je pense à une autre raison. Le modèle du professionnel réclamé n’est pas le même dans ces deux conceptions.
Du côté de l’ADVP, on a un modèle « expert », un professionnel spécifique, formé, qui intervient sur des heures spéciales, avec un programme, une progression, des objectifs. Cela peut au moins en partie être cohérent avec le modèle du conseiller d’orientation français. Mais il en est tout autrement pour le professionnel de l’éducation à la carrière. Le principe organisationnel central, c’est « l’infusion ». Ce sont des activités à mener par tous les acteurs ! Il n’y a pas à proprement parlé de programme. »[iv] On peut présenter cela dans un tableau.

  ADVP EAC
intervenant 1 professionnel spécifique tous les enseignants formés
intégration horaires tous les cours
pratique programme activités

 

 

Au Québec, dans les années 80 on abandonne finalement le modèle ADVP dans les établissements pour le modèle de l’EAC. A la fin des années 90 on parlera d’approche orientante. Marcelle Gingras rapporte sa définition dans un article pour les Cahiers pédagogiques[v]. « Une approche orientante est en fait une démarche concertée entre une équipe-école et ses partenaires, dans le cadre de laquelle on fixe des objectifs et met en place des services (individuels et collectifs), des outils et des activités pédagogiques visant à accompagner l’élève dans le développement de son identité et dans son cheminement vocationnel. Il s’agit donc d’activités et de services intégrés au plan de réussite et au projet éducatif d’un établissement et non d’un simple cumul d’actions isolées engageant peu l’équipe-école » (MEQ, 2002, p. 18). Dans cette dernière conception il faut attirer l’attention sur le fait que cette conception englobe des activités pédagogiques et des services qui accompagnent l’élève dans son développement… ceci avec un double objectif, celui de faire acquérir des compétences très générales par tout un chacun, et en même temps de permettre le développement personnel et individuel.

Le retour du refoulé

Pendant ce temps, en France, cette thématique éducative semble ignorée par l’INETOP ainsi que par le ministère, et ce sont des individus ou des associations qui s’y intéressent. Geneviève Latreille[vi] notamment va développer ce courant à Lyon. Une association « Trouver/Créer » sera fondée. Et dans le supérieur, deux événements importants vont apparaître. A la suite de l’engagement de Geneviève Latreille, des services d’orientation au sein des universités seront créés (aujourd’hui les SCUIO, puis au milieu des années 80, des universités introduisent dans la formation des UE d’orientation, à Paris V et Paris X[vii], et bien sûr à Lyon. Et ces expériences vont se poursuivre jusqu’à leurs quasi généralisation aujourd’hui.

Laure Endrizzi, pour l’IFE en 2009 avait présenté le développement de ces modules dans l’enseignement supérieur[viii]. En 2014 pour Educpros, c’est Delphine Dauvergne  qui fait le point, la moitié des universités ont alors mis en place le projet professionnel personnel (PPP)[ix]. En 2014, Sylvain Obajtek présente une thèse sous la direction de Francis Danvers[x].

Dans le secondaire, au milieu des années 80, puis des années 90, le ministère lui-même va prôner la démarche éducative sans réelles références explicites à une théorie particulière, mais en donnant forme au principe d’infusion. Ce sera l’éducation à l’orientation par tous (les acteurs) et pour tous (les élèves). Puis au début des années 2000, c’est l’Europe qui relayera également cette approche éducative avec le long life learning[xi].

 

Une question se pose

Pourquoi trouve-t-on dans le secondaire le modèle de l’infusion, et dans le supérieur le modèle expert ? Il faut sans doute combiner différentes hypothèses.

Dans le secondaire, les services d’orientation se sont construits sur la pratique du conseil, dans un en-dehors du temps scolaire. L’INOP, puis l’INETOP se sont opposés au courant éducatif non pas en fait pour des raisons scientifiques, mais pour des raisons « professionnelles ». Introduire une activité éducative dans le champ scolaire, c’est perdre la spécificité de la profession, et risquer également de disparaître au profit des enseignants. Au milieu des années 90, lorsque cette thématique est soutenue par le ministère lui-même, la rédaction de la circulaire sur l’éducation à l’orientation n’est pas confiée à un inspecteur général de l’orientation, mais à un inspecteur général disciplinaire. L’argumentation reste ambiguë. On veut à la fois éduquer, faire acquérir des compétences à exercer dans le futur, mais aussi résoudre les problèmes d’orientation scolaire, faire en sorte que l’élève puisse « bien décider » pour lui-même. Et quant aux pratiques, elles relèvent de l’infusion, tous les acteurs possibles sont évoqués. J’ai déjà écrit longuement sur les difficultés de cette innovation institutionnelle[xii]. Cette belle intention s’est heurtée à la structuration disciplinaire de l’enseignement secondaire, et au fil des réécritures, de parcours en parcours, elle aboutit aujourd’hui au parcours individuel, d’information, d’orientation et de découverte du monde économique et professionnel, qui se trouve appelé aujourd’hui « parcours Avenir »[xiii] : une énorme « usine à gaz » qui doit être organisée par le chef d’établissement avec l’aide du conseiller d’orientation-psychologue. Celui-ci refuse dans la plupart des cas ce rôle de conseiller technique du chef d’établissement, et le nouveau statut ne semble pas l’encourager, il est simplement membre de l’équipe pédagogique, et à ce titre, « il participera à la conception et à la mise en œuvre d’actions permettant l’appropriation d’informations sur les formations et les métiers et l’évolution de leurs représentations. Il contribuera à l’élaboration de parcours de réussite des élèves en leur permettant de prendre conscience des enjeux de leur formation et de s’orienter vers une qualification visant leur insertion socioprofessionnelle. » Il participe, comme les autres, sans rôle particulier.

On peut relire mon article de 2013, L’éducation à l’orientation, un nouveau paradigme ? Il  commençait ainsi : « Il y a quelques temps, une collègue m’a questionné : « Bien sûr, je connais l’histoire de l’orientation, mais ce qui m’intrigue c’est la rupture « épistémologique » que l’on peut repérer à partir de l’éducation à l’orientation. C’est ça que je veux approfondir pour le dire autrement le passage d’un paradigme où l’orientation est attribuée à un corps particulier à celui où elle est diluée à tous. C’est mal exprimé mais cela représente à mon avis des éléments permettant d’expliquer pourquoi on ne sait plus quoi nous faire faire… ». Je vais essayer d’esquisser quelques pistes de réponses. »[xiv]

Du côté du supérieur, c’est un autre modèle qui s’est imposé, celui du temps circonscrit consacré à cet objectif. Il remonte comme je le disais au milieu des années 80 et doit beaucoup à l’expérience de Geneviève Latreille notamment. Le développement de l’aide à l’orientation et sa généralisation à l’espace universitaire tient à deux préoccupations me semble-t-il. D’une part la circulation des étudiants dans le système ne relève pas de procédures d’orientation comme dans le secondaire, et les échecs des étudiants étaient le plus souvent interprétés comme étant la conséquence de leurs mauvais choix d’orientation. D’autre part la difficulté d’insertion dans la vie active s’est également manifestée pour les hauts diplômés, et pas seulement pour les « sans qualification ». Les cellules universitaires d’information et d’orientation n’étaient pas suffisantes. A Paris X-Nanterre où je travaillais à cette époque, il y avait deux demi-postes de conseillers ; nous réalisions à nous deux 700 entretiens/année pour 49 000 étudiants… Vers la fin des années 90, des services spécifiques pour l’insertion seront mis en place. Mais là encore on est sur une aide individuelle et qui ne touche pas l’ensemble des étudiants. Malgré leur belle réussite, les IUT sont également touchés par les problèmes d’insertion de leurs étudiants. L’association des directeurs d’IUT pousse à la généralisation du PPP[xv]. Et d’une manière générale, les formations deviennent de plus en plus labellisées par l’Etat sur la preuve de l’insertion des étudiants. L’existence même d’une formation, et donc de ses enseignants dépend non seulement de la réussite des étudiants aux examens, mais aussi, et même surtout de leur insertion dans la vie active. Les enseignants du supérieur sont d’une certaine manière directement intéressés par la réussite de leurs étudiants, à contrario des enseignants du secondaire…

 

Donc l’aide à l’orientation à l’université est un combiné de services proposés aux individus et en même temps des formations souvent obligatoires, et donc validés. Si on n’a pas opté pour l’infusion, c’est sans doute parce que le ministère de l’enseignement supérieur n’a pas la compétence pour définir le contenu des programmes. Donc officiellement pas d’infusion dans les programmes et des UE parfaitement circonscrites à cette fonction. Mais on peut observer également une ouverture très importante pour ce qui concerne les intervenants avec une très grande variabilité de programmes et d’objectifs. La liberté d’enseignement, tradition universitaire, se trouve ainsi confirmée.

Bernard Desclaux

 

[i] Apprendre à s’orienter, d’hier à aujourd’hui (V), ou le déclin de l’organisation du pouvoir d’orienter

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/05/07/apprendre-a-sorienter-dhier-a-aujourdhui-v-ou-le-declin-de-lorganisation-du-pouvoir-dorienter/

Questionner l’histoire de l’orientation et des conseillers en France (IV) évolution des procédures d’orientation

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/10/01/questionner-lhistoire-de-lorientation-et-des-conseillers-en-france-iv-evolution-des-procedures-dorientation/

LA PROCEDURE D’ORIENTATION SCOLAIRE : UNE EVIDENCE BIEN FRANÇAISE, in TransFormations n°3/2010 – p. 77/p. 96. http://www.trigone.univ-lille1.fr/transformations/docs/tf03_a05.pdf

[ii] Questionner l’histoire de l’orientation et des conseillers en France (II) l’Orientation professionnelle en France

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/09/15/questionner-lhistoire-de-lorientation-et-des-conseillers-en-france-ii-lorientation-professionnelle-en-france/

Apprendre à s’orienter, d’hier à aujourd’hui (III), ou l’apprentissage et la naissance d’une profession

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/04/22/apprendre-a-sorienter-dhier-a-aujourdhui-iii-ou-lapprentissage-et-la-naissance-dune-profession/

[iii] Voir ces deux articles : Apprendre à s’orienter, d’hier à aujourd’hui (VI), ou la perte de l’argumentation

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/05/12/apprendre-a-sorienter-dhier-a-aujourdhui-vi-ou-la-perte-de-largumentation/

De l’eao au pdmf, première partie de l’histoire

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2013/04/02/de-leao-au-pdmf-premiere-partie-de-lhistoire/

[iv] Extrait de B. Desclaux : Questionner l’histoire de l’orientation et des conseillers en France (VII) l’émergence de l’éducation à l’orientation.

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/11/06/questionner-lhistoire-de-lorientation-et-des-conseillers-en-france-vii-lemergence-de-leducation-a-lorientation/

[v] N°449 – Dossier « L’école au Québec » La contribution de l’approche orientante au développement des compétences (dossier Québec) par Marcelle Gingras. http://www.cahiers-pedagogiques.com/La-contribution-de-l-approche-orientante-au-developpement-des-competences-dossier-Quebec

[vi] Voir sur Wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/Genevi%C3%A8ve_Latreille

[vii] J’ai raconté ma participation à cette activité à Paris X dans l’article « De l’orientation en milieu universitaire » https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2011/02/23/de-lorientation-en-milieu-universitaire/

[viii] Le projet professionnel dans l’enseignement supérieur : de la démarche aux outils – AFEC 2009 https://eduveille.hypotheses.org/1967

[ix] Projet professionnel en licence : à chaque université sa méthode http://www.letudiant.fr/educpros/enquetes/projet-professionnel-en-licence-a-chaque-universite-sa-methode.html

[x] L’orientation active à l’université : mystification pédagogique ou travail éducatif ? : acteurs, représentations, pratiques. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01158966/document

[xi] Apprendre à s’orienter, d’hier à aujourd’hui (IX), et l’Europe s’en mêle

https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2015/06/25/apprendre-a-sorienter-dhier-a-aujourdhui-ix-et-leurope-sen-mele/

[xii] Bernard Desclaux, L’éducation à l’orientation en tant qu’innovation, publié dans PERSPECTIVES DOCUMENTAIRES EN ÉDUCATION, N° 60 – L’éducation à l’orientation, 2003 (publié en fait en 2005), INRP. http://ife.ens-lyon.fr/publications/edition-electronique/perspectives-documentaires/RP060-3.pdf

[xiii] Sur le site du ministère à la page http://www.education.gouv.fr/cid83948/le-parcours-avenir.html

[xiv] https://blog.educpros.fr/bernard-desclaux/2013/03/07/leducation-a-lorientation-un-nouveau-paradigme/

[xv] A la demande de Nathalie Tralango, j’interviens dans la journée de travail PPP du 17 octobre 2007 à Cachan, organisée par la commission AIP/FC/CREA de l’Association des Directeurs d’IUT.  Le projet personnel dans le secondaire, une émergence difficile, le powerpoint se trouve sur la page de mon site : https://bdesclaux.jimdo.com/conf%C3%A9rences/

 

 

 

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