Cracking the management code

Archive mensuelles: juin 2015

Entre publier et procréer : surtout ne pas choisir !

La dernière édition du baromètre Educpros sur le moral des professionnels de l’enseignement supérieur et de la recherche pointe la grande difficulté des femmes à concilier vie personnelle (et particulièrement leur vie de mère de famille) et vie professionnelle, surtout dans ses aspects de promotion et de carrière. Beaucoup y arrivent « malgré tout », mais le prix à payer est élevé : fatigue, sentiment de frustration, renoncement ou décalage dans le temps d’un projet d’enfant, censure dans les projets de carrière.

Cette situation de dilemme permanent est une charge mentale et psychologique importante à laquelle sont soumises trop de femmes, quel que soit leur métier ou leur secteur d’activité. Ce baromètre confirme que  les métiers de l’enseignement et la recherche ne sont pas exemptés de ce problème.

Au-delà de la diversité des profils, des réussites et des échecs des unes et des autres, de l’immense variété des situations, le fond du problème est que c’est à la femme de construire sa trajectoire personnelle, en se fondant sur ses ressources propres, qu’elles soient intellectuelles, physiques, financières ou relationnelles.

On retombe toujours sur les mêmes résultats, il faut être diplômée de façon à avoir le choix optimal d’une entreprise et d’une fonction permettant cette conciliation vie privée vie professionnelle, une bonne résistance physique (pas besoin de beaucoup de sommeil !), des moyens financiers pour alléger les contraintes logistiques liées aux enfants ou aux contraintes professionnelles, un compagnon (ou une compagne) prêt à prendre sa part de responsabilités et de charges, et des parents ou des amis pouvant servir de relais en cas de « coup dur » ! Chacune se reconnaitra dans cette image parfaite, que seules quelques happy few peuvent revendiquer !

L’impact de l’exclusion des femmes

Et pourtant, ce n’est pas aux seules femmes d’affronter ce double rôle de productrice et de reproductrice (encore une expression peu sympathique), mais bien à la société entière ! La femme n’a pas à construire seule sa double vie professionnelle et familiale.

Des sociétés ont résolu la question en réduisant les femmes à leur rôle de mère et en leur interdisant l’accès aux espaces professionnel et public. On commence à en voir les dégâts, comme dans la société japonaise où la relégation de plus de la moitié de la population est actuellement questionnée tant le bilan économico-démographique est dramatique. Mais bien d’autres pays sont amenés à faire des constats identiques. En effet, quand il faut choisir entre avoir des enfants et avoir un rôle social, c’est aller assurément vers la baisse du taux de la fécondité dans nos sociétés dites avancées. En témoignent à leur corps défendant toutes ces Espagnoles, Italiennes, Allemandes qui renoncent à la maternité ou la mettent entre parenthèse jusqu’à la quarantaine pour ne pas se retrouver au « foyer » !

Au-delà des aspects strictement numériques, les sociétés se construisent et évoluent en étant amputées dans leur circuits décisionnels économiques, politiques, de l’autre « moitié du ciel » comme le disait Mao. Nul n’est besoin d’être un politologue ou un économiste pour constater l’immense gâchis qui en résulte.

Des compétences « augmentées »

Pour ne pas rester au stade du constat et de l’interpellation, et pour avancer un peu dans la réflexion, je propose de valoriser tout ce qu’une femme peut apporter à une organisation, à une entreprise et dans notre cas à l’enseignement supérieur et à la recherche, si on lui donne le soutien nécessaire à ce double objectif de travailler et d’avoir une vie de famille. En le cas d’espèce, de « publier ET de procréer ».

Je partirai d’une théorie qui est celle du « temps augmenté », en l’élargissant à l’idée de compétences augmentées. L’idée de départ est que savoir concilier une vie personnelle épanouie et une vie professionnelle exigeante mobilise et développe des compétences très spécifiques et à haute valeur ajoutée, que les entreprises et les organisations devraient savoir reconnaitre pour mieux les valoriser et en tirer profit.

Avec la théorie du temps augmenté, on renonce à voir les temps personnel et professionnel  comme des vases communicants, on abandonne l’idée que le temps passé avec les enfants est du temps volé au travail et vice-versa. Ce fonctionnement repose sur une vision très linéaire de son organisation qui bute très vite sur des dilemmes impossibles à gérer.

De la même façon, je propose de partir de l’idée que l’interpénétration des deux mondes personnel et professionnel est une source de valeur augmentée.

C’est la démonstration au quotidien de la capacité à gérer concomitamment  deux projets hyper-complexes, à variables multiples, sur du temps long et sans pause possible. En effet, la vie familiale et la recherche ont ceci en commun de mobiliser entièrement l’esprit, en temps continu, faisant appel à des ressources multiples et à gérer dans un jeu de contraintes nombreuses.

Il n’est pas possible de les  séquencer, de leur imprimer son rythme propre, de les mettre en attente. La recherche comme la vie familiale exigent toutes deux une immersion totale.

Quelles sont les clés pour réussir à « tout faire » ? J’en propose quelques-unes, sans aucune prétention à exhaustivité.

Clé n°1 : Renoncer à la perfection

C’est difficile à entendre, mais les femmes doivent renoncer à être parfaite et se défaire du « syndrome de la bonne élève » qui les atteint toutes ! Paradoxalement, il faut renoncer à être une mère parfaite, une compagne parfaite, une chercheuse parfaite … pour réussir ! Une devise : « la qualité est souvent de la surqualité ! »

Clé n°2 : Faire confiance

Le corollaire du renoncement à la perfection est de savoir faire confiance à son entourage, tout particulièrement à ses enfants et ses collègues. Les enfants sont capables de faire beaucoup plus de choses en autonomie que leur mère ne le pense et cela les aide à grandir ! De même, un mari, époux, compagnon, compagne peut s’investir dans le quotidien et prendre des tâches en main : les courses au supermarché, le repassage, les devoirs … de façon différente, peut-être pas aussi merveilleuse, mais suffisante certainement ! Dans le milieu professionnel, des collègues, des collaborateurs peuvent aussi contribuer positivement à toutes sortes de missions, cela s’appelle la délégation. Une devise : « Ce qui est fait est bien fait ».

Clé n°3 : Mobiliser les méthodes professionnelles dans la vie familiale…et vice versa

Il faut savoir mettre sur le même plan et traiter avec le même professionnalisme la leçon de violon et la réunion de travail, le goûter d’anniversaire et le déjeuner professionnel, l’accompagnement aux devoirs et la rédaction d’un article.

Utiliser les méthodes professionnelles pour la vie privée aide beaucoup en efficacité. Tenir un agenda avec la même rigueur pour les deux vies est une façon de ne pas dériver et de se retrouver débordée avec des ajustements de dernière minute. De la même façon, on apprend énormément de choses dans une vie familiale qui relève souvent de la gestion d’une TPE. L’enjeu est  de décoder ces compétences acquises sans qu’on s’en rende compte et les mettre au service de la vie professionnelle.

 Clé n°4 : Garder des zones tampons

Il faut du « tiers temps » pour éviter les passages frontaux d’un monde à l’autre. Les temps de transport sont d’excellents moments pour faire des transitions pas simples. Il vaut mieux marcher et arriver un peu plus tard à la maison le soir avec l’esprit plus libre que d’arriver tôt sans avoir eu le temps de se débarrasser des soucis professionnels.

Evidemment, il est très important de pouvoir se garder du temps « à soi », comme des petites bulles d’oxygène pour reprendre sa respiration dans le rush. Ces moments aussi doivent être inscrits dans l’agenda pour ne pas disparaître pour cas considérés comme de forces majeures ! Une devise : « je le vaux bien … aussi ».

 Clé n°5 : Apprendre la fluidité

Passer l’aspirateur est un excellent moment pour réfléchir à sa prochaine publication ! Une réunion ennuyeuse est un très bon créneau pour dresser une liste de lieux de vacances ou tenir ses comptes. Cela ne s’oppose pas à la clé numéro 2 et rejoint la clé n°3…

Autant l’agenda doit être béton, autant il faut savoir se saisir de toutes les opportunités pour avancer ! Plus les dossiers sont instruits et préparés, moins le cout d’entrée est important. La fluidité est essentielle pour mener tout de front.

De l’énergie et une organisation sans faille

Une conviction en forme de conclusion : il est absolument possible de publier et de procréer. Mais cela demande en effet une mobilisation d’énergie et une organisation sans faille, qui doivent être reconnues à leur juste mesure pour être valorisées et soutenues.

Cela signifie très clairement qu’il faut évaluer le dossier de publications ou de carrière d’une mère de famille avec d’autres critères : pas seulement celui de la performance classique à l’instant T, mais celui du potentiel qui se déploiera dans les années à venir, quand les enfants auront grandi.

Ce qui est formidable, c’est que leur carrière prendra toute son envergure à un moment où ceux et celles qui auront moins investi dans la double vie seront dans un désir de retrait. PUBLIER et PROCREER,  surtout ne pas choisir !

L’apprentissage par l’expérience : le prochain défi de l’enseignement supérieur

Apprendre est une aventure de vie, de celles qui n’ont pas d’échéance, qui ne recherchent pas de résultats. C’est une quête sans fin qui relève d’un besoin vital : on parle bien de « la soif d’apprendre » ! À travers l’apprentissage, c’est une découverte de soi qui se dessine.
L’EM Strasbourg et la société Acretion ont fait une alliance apprenante pour créer une web application inédite : My Talent Quest. Proposée gratuitement à l’ensemble des candidats 2015 aux Business Schools françaises, elle permet aux utilisateurs de prendre conscience de leurs talents et axes de progrès, mais aussi d’identifier les situations d’apprentissage auxquelles ils sont confrontés pendant les oraux.

Quelques exemples :

– la préparation de déplacements : permet de gérer l’ensemble des entretiens visés et développe des savoir-faire d’organisation

– la participation aux activités proposées par l’école, les rencontres avec les autres candidats : une compétence relationnelle qu’on peut travailler, de façon plutôt affective (se faire aimer) ou plutôt rationnelle (obtenir des autres les bonnes informations)

– le choix du logement : chez l’habitant ou préférer une chambre d’hôtel est aussi révélateur de sa personnalité, comme la façon dont on voyage : seul ? en groupe ?

Par ailleurs, My Talent Quest doit permettre de partager des difficultés, ne pas voir les autres candidats comme des concurrents mais comme des coopérants.

Des romans d’apprentissage aux jeux videos : toujours la même quête de soi !

L’un des objectifs de l’application : aider chacun à se positionner lors des fameux entretiens oraux ! Plus je me connais, plus je maîtrise mes compétences et mes apprentissages, plus je suis à l’aise pour en parler, les décrire, les valoriser, ce qui est directement attendu par un jury d’entretien.
Nous inscrivons My Talent Quest dans une longue lignée de supports au service de la quête de soi.  Il y a d’abord eu les romans d’apprentissage. Ces récits mettent en scène des personnes qui se découvrent au fur et à mesure d’aventures plus ou moins épiques. On peut citer L’éducation sentimentale de Gustave Flaubert, Les souffrances du jeune Werther de Goethe, David Copperfield de Dickens. Les jeux vidéos ou films ont des fonctions similaires, de Zelda à un film récent comme Edge of tomorrow, avec Tom Cruise dans le rôle principal. Ce dernier présente l’intérêt de montrer combien on peut capitaliser sur les erreurs du passé, à condition qu’elles ne tuent pas ! Tous ces outils ont en commun qu’ils proposent, chacun à leur façon, de se regarder faire pour grandir. On effectue un « pas de côté »,  juste un léger décentrement pour se regarder et peut être faire autrement la prochaine fois.

Le projet pédagogique de l’EM Strasbourg : voir l’apprentissage comme une expérience

Comme je l’ai analysé dans le post intitulé « Faire de la Business School une plateforme de conversion des étudiants« , nous sommes conditionnés et nous continuons à conditionner nos élèves et étudiants à suivre une formation « causale ». Une éducation faite de buts à atteindre, de rationalité dans l’optimisation des ressources, de défis à surmonter, de souffrance, de comparaisons et de compétition.
Or, toutes les cultures convergent vers les mêmes conclusions et les mêmes injonctions : le but est le chemin, pas la destination. C’est-à-dire que la réussite n’est jamais une fin en soi : ce qui est important, c’est la façon dont on a avancé et ce qu’on en a retiré.

Il n’est pas pour autant question de sortir du jeu, et de remettre en cause tous les codes tant de l’enseignement supérieur que de l’évolution professionnelle, car ce serait alors marginaliser les étudiants qui nous font confiance. Il n’est pas question non plus de vouloir donner des leçons de morale ou de revendiquer une forme d’étalonnage de l’exemplarité. NON ! Trois fois NON !
Notre vision est fondée sur la théorie du «  pas de côté », en décalant légèrement le regard, il est possible de faire bouger notablement et durablement les lignes des modèles d’apprentissage dans l’enseignement supérieur. Un véritable défi que nous souhaitons relever à l’EM Strasbourg.

Notre proposition pédagogique s’appuie sur trois principes :

1/ Inscrire l’apprentissage dans une « expérience ».

Il s’agit de la même évolution qu’a connue le monde de la consommation. Un consommateur n’est plus seulement quelqu’un qui désire et achète mais bien quelqu’un qui consomme de l’expérience. Qu’il fasse ses courses sur internet, qu’il flâne chez Nature et Découvertes, qu’il fasse son plein à Carrefour ou cherche à avoir le meilleur rabais pendant une période de soldes…
L’élève, l’étudiant, l’apprenant, quels que soient son âge et la formation qu’il entreprend, s’inscrit dans une « expérience d’apprentissage ». Ce qui ne veut pas dire que tout est forcément luxe , calme et volupté, mais bien qu’il en tirera non seulement des apprentissages, mais aussi des émotions, des satisfactions et des ressentiments, bien au-delà des notes et du diplômes. C’est ce mélange d’émotions et de rationalité qui crée son expérience de formation, et construit son attachement d’alumni à son école.

2/ Faire vivre une expérience d’apprentissage « sans couture »

Avec les MOOCs, les cours en ligne ou encore les plateformes de données et d’auto formation, le savoir se stocke. La grande différence avec les bibliothèques d’autrefois, c’est que ce savoir est accessible partout et à tout moment, selon le fameux principe ATAWAD (AnyTime, AnyWay, AnyDevice). Cela signifie aussi que, de plus en plus, l’étudiant peut tester une formation avant de s’y inscrire, ce qui est complètement inédit dans l’histoire de la formation. La pédagogie est maintenant un service d’expérience et non plus un service de croyance.
L’étudiant demande une parfaite fluidité entre ce qu’il apprend avec le professeur en cours, l’auto-formation qu’il assure en ligne et son évaluation de stage par son tuteur en entreprise. Cette question pose bien sûr celle du blended learning, qui alterne présentiel (salle de cours) et distanciel (e-learning) mais avec l’exigence nouvelle d’avoir un « service sans couture », c’est à dire une expérience d’apprentissage qui fasse sans cesse des liens entre le distanciel et le présentiel, et qui aide à connecter les outils, les moments et les méthodes pour vivre un apprentissage intégratif.

3/ Développer une compétence de « réflexivité »

L’étudiant devient alors un être apprenant, un « homo percipiens ». C’est quelqu’un qui apprend à apprendre, apprend à relier, apprend à désapprendre, comme je l’ai déjà écrit. Tout le monde connaît par moments ce sentiment de maîtriser un apprentissage : un débat en cours, une expérience de chimie, un projet de groupe, un rendez-vous avec un professeur… peuvent être autant de « moments de vérité », où l’on « réalise » qu’on a compris, et appris, même s’il n’y a pas de note ou de diplôme au rendez-vous.
Cette posture réflexive est simple sur le papier, elle est abondamment recommandée et théorisée par de multiples experts en pédagogie, mais elle est aussi extrêmement difficile à intégrer. Ce que permettent les outils pédagogiques fondés sur les technologies web, c’est de personnaliser et de multiplier ces moments, tout en respectant le rythme et les modalités d’apprentissage de chacun.

4/ Inscrire son apprentissage personnel dans une communauté d’apprenants

Ce projet  ne va pas de soi dans la culture française, où la formation est fondée sur l’individualisme forcené, avec une mise en compétition des personnes et l’idée que la réussite est une aventure personnelle. Les notions de collaboration et d’apprentissage collaboratif en sont encore aux balbutiements dans notre système éducatif. Or, l’entreprise, inscrite dans un contexte global, attend de plus en plus de ses collaborateurs qu’ils sachent travailler de façon synergique, ce qui est déjà acquis dans d’autres cultures. D’où l’intérêt d’une pédagogie qui privilégie les travaux de groupes, les projets communs, et qui sache inciter chacun à oublier le « chacun pour soi ». L’utilisation des réseaux sociaux par exemple, ainsi qu’un community management tourné vers les apprenants, participent de l’avancée de ces pratiques.

Devenir un apprenant, pas seulement un diplômé

À l’EM Strasbourg, nous voulons amener nos étudiants à relever ce défi !

–    en créant et déployant la plateforme 3V pour former tous nos étudiants au management responsable en état respectueux des valeurs d’éthique, de développement durable et de diversité
–    en confrontant en cours les étudiants avec des études de cas et des situations dilemmes
–    en leur demandant de prendre du recul avec leurs périodes à l’étranger et en entreprise
–    en proposant le parcours associatif qui rend apprenants des projets menés dans le cadre d’associations étudiantes
–    en développant les « on site training days » qui stimulent un apprentissage en entreprise sous la forme d’études de cas et d’échanges avec les managers de l’entreprise accueillante
–    en organisant des forums, des débats, des challenges lors des  journées des trois valeurs de l’école
–    en multipliant les occasions d’apprendre avec les conférences organisées dans l’école avec des partenaires extérieurs, académiques ou entreprises

C’est cette même vision des choses qui nous amène à réformer notre politique de langues, en mobilisant plus de temps et de moyens pour l’apprentissage de la langue du pays où s’effectue l’année à l’étranger, en lieu et place de la « seconde langue du lycée ». C’est aussi tout le parcours proposé par un service dédié Cap Career à l’EM Strasbourg, qui permet à chaque étudiant de mieux se connaitre, d’élaborer son projet personnel puis son projet professionnel, avec un outil qui le suit toute sa scolarité, le « passeport manager ». Ce sont enfin tous les cours fondés sur l’expertise de recherche des enseignants chercheurs, cours de méthodologie, cours de lecture de travaux de recherche, business case à l’appui.

Avec My Talent Quest, nous nous nous intéressons à l’étudiant en amont de son intégration.

My Talent Quest– Nous voulons que les étudiants recrutés soient en phase avec notre projet d’école et choisissent l’EM Strasbourg en connaissance de cause.
– De façon plus large, nous souhaitons accompagner tous les candidats aux écoles de management dans cette réflexion et cet apprentissage de soi. Pour ce faire, il nous a paru évident de proposer un outil relevant de tous les attendus que je viens d’énoncer, AVANT même l’entrée dans l’école, et nous avons choisi le moment des entretiens.
– Enfin, nous formons le vœu que cette appli My Talent Quest continuera à produire des effets après les entretiens en ayant stimulé l’envie d’apprendre et surtout la capacité à innover dans l’apprentissage.

Plus d’infos :
www.mytalentquest.fr