Texte avec illustrations à télécharger en PDF : Impressions participants Atelier Smurtz 2017
Un nouvel atelier de « smurtz » a été organisé par HEMiSF4iRE Design School, le 22 novembre 2017 à l’Université Catholique de Lille à l’occasion de la journée d’immersion des lycéens. Le défi qui a été proposé aux 52 participants (majoritairement des professeurs de lycée) a été comme à l’habitude celui de construire ensemble de nouveaux modules transdisciplinaires, nommés pour l’occasion cours de « smurtz », ce qui ne veut rien dire, mais dont on peut faire ce que l’on veut. Pour cela, une méthode de travail co-élaborative (protocole construit par Delphine CARISSIMO et Jean-Charles CAILLIEZ ; co-animation avec Nathalie LAUGIER) a été menée en regroupant les participants en 9 équipes et pour un temps de travail de 3 heures. Pas assez long pour produire de véritables modules, mais suffisant pour se rendre compte de la puissance créative des enseignants de lycées quand on les stimule à travailler et créer ensemble, bref, quand on les invite à décloisonner !
Les participants à l’atelier en une phrase de 7 mots, dont un verbe. Je transmets ma passion de l’anglais – Adepte de créativité pour transmettre le management – J’enseigne l’espagnol avec amour et passion, olé ! – Levier puissant éveillant le magicien en soi – Je transmets des connaissances et des compétences professionnelles – J’éduque le corps et l’esprit – J’accompagne les transformations pédagogiques en faculté de droit – Je suis professeur documentaliste « multiservices » chargée d’orientation – J’apporte des connaissances à volonté – Je conseille les agents de l’entreprise – J’enseigne la biologie, la physiopathologie humaine – Mes élèves apprennent la communication en espagnol – J’enseigne le français et l’histoire – Faire grandir et accompagner chaque élève présent – Etre accompagnateur d’apprentissage en développement durable – J’essaye de rendre des adolescents professionnels – J’accompagne tous les élèves en SVT – Un métier qui allie sport et transmission – Je prépare les lycéens pour les SVT – J’enseigne les SVT à des lycéens – Je motive les élèves à l’allemand – J’enseigne en ingénierie mécanique – J’enseigne l’économie de la construction de bâtiments – J’enseigne la santé et les politiques – quadra qui accompagne des teenagers in English – J’enseigne les maths : stratégie, rigueur, jeux – J’enseigne les matières scientifiques appliquées autrement – Observatrice des difficultés, j’explique avec dynamisme – Accompagner des jeunes pour aller vers demain – Je fais aimer les mathématiques aux élèves – Je fais faire de super belles expériences – Accompagner ludiquement la conduite du changement numérique – Les dates ne s’apprennent plus par cœur – Je suis un coach animateur leader déterminé – Coach en développement professionnel, j’accompagne l’étudiant alternant – J’enseigne l’anglais à la Catho – Accompagner enfants, enseignants, parents dans une école – Accompagner Hommes et organisations dans leurs changements – Professeur qui rend les gens plus autonomes – J’enseigne une discipline en évolution constante – J’enseigne la gestion des opérations import/export – Les maths en classe, j’illustre – Aider les élèves à aimer les mathématiques – Entrepreneure créant du lien, passionnée d’innovation pédagogique – J’enseigne les sciences économiques et sociales gaiement – J’enseigne le français à des lycéens – Je partage mes connaissances de l’italien – Accompagner l’adolescent dans l’acquisition de compétences professionnelles
Les 9 cours de smurtz construits par les 9 équipes !
Vivre ici. Public ciblé = population de migrants et de réfugiés ne maitrisant pas (ou peu) la langue française. Descriptif = viens rejoindre notre groupe d’expression encadré par des élèves qui expérimentent tous les moyens d’expression possibles (…) pour créer la cohésion, l’intégration, le bien-être et enclencher la parole (expression corporelle, expression musicale, piscine, promenade, tous les lieux et tous les moyens) ; libération d’un esprit d’équipe entre les lycéens et les migrants (esprit d’intégration maximum). Matières associées = expression, gestuelle, informations, pathologies. Connaissances et compétences développées = créer du lien social, aiguiser la curiosité, apprendre de l’autre. Evaluation = par « émotions », par des photos et vidéos (entrée de la classe et fin de séquence), mesure de la joie de vivre, la parole qui se libère (les mots qui arrivent) par la posture et l’expression corporelle, ce qui enclenche l’envie de parler.
Recette gastronomique gallo-romaine à l’usage d’un gaulois gourmand tombé dans la marmite quand il était petit. Cible = élèves de 3ème et de seconde. Consigne = la croissance démographique urbaine augmentant, les espaces forestiers diminuant, la proportion de sangliers par habitant chute fortement. Ainsi, Obélix a faim. L’objectif du concours est de produire par équipe le nouveau plat préféré de cuisine moléculaire d’Obélix. Obélix n’est pas en reste et est très gourmand et décernera à l’issue de la présentation du travail expérimental des cuisiniers, des prix : les lauriers d’or, d’argent et de bronze. Public = 3ème et secondes ; binôme et groupe mélangé de 3ème et secondes. Matières = français, latin, histoire, italien, chimie, sciences, expression, expériences. Compétences = travail en équipe, coopération, mutualisation, créer une production, travail expérimental, présenter son travail devant un jury. Connaissances = histoire de la gastronomie gallo-romaine, les molécules, connaître les méthodes d’expression orale (expliquer, puis répondre aux questions). Le jury évaluera la qualité de l’exposé et du plat préparé. Temps = recherche (2 heures), préparation (2 heures), passage (10 minutes d’exposé + 5 minutes d’entretien avec le jury) : notation en sangliers (potion magique interdite).
Le sexisme, rien ne va plus ! Sous-titre = sensibiliser aux clichés du sexisme. Public = étudiants universitaires. Durée = 8 séances théoriques + 4 séances de travaux pratiques. Matières à intégrer = culture, stratégie, débats. Connaissances à acquérir = historique du sexisme, règles du graphisme, cultures et sexisme, stratégie et publicité. Compétences à développer = développer la créativité, argumenter son opinion dans les débats, synthétiser des sources documentaires. Evaluation = par le dessin (par groupe) ; réaliser une maquette d’affiche publicitaire non sexiste !
Passer le désert. Public = jeunes migrants de 14 à 17 ans (module de 3 mois). Objectif = permettre au public de trouver sa place en s’appuyant sur les points forts à l’algèbre ; l’algèbre permet de dépasser le brassage de la langue ; pédagogie innovante adaptée à leur traumatisme, inspirée de la pensée chinoise (travail sur le corps et méditation). Connaissances et compétences = langue du pays (France), savoir-vivre et savoir-être. Premier temps =métaphore avec « Mulan » (bande annonce du film), capacité à s’adapter à des situations nouvelles et symbole du changement personnel, place de la femme dans la société, changement à opérer pour éviter la chute. Deuxième temps = mise en situation/ travail de groupe. Troisième temps = tutorat en soutien scolaire algèbre en primaire. Absence d’évaluation.
La margarine de l’amour. Public = lycéens et étudiants. Disciplines = géométrie, neurosciences, éco-matériaux. Méthodes = neuro (influx des messages subliminaux) ; géométrie (modélisation et design d’objets) ; éco-matériaux (écoconception des objets). Durée = un semestre. Travail de groupe = élaborer la conception et le marketing d’une boite de margarine (en forme de cœur). Evaluation = audition des élèves (présentation du projet, un peu comme des étudiants en architecture qui présenteraient leurs maquettes) ; date de péremption (deadline) pour l’évaluation du projet dont le titre est imposé (« la margarine de l’amour ») = le 14 février (Saint-Valentin). Compétences = travail en groupe, argumentation et éloquence, rigueur scientifique (calcul, conception,…), méthodologie de démarche de projet (stratégie), être capable de reconnaître les matières naturelles, être capable de connaître les modes d’utilisation des matières naturelles.
Evolution-Génétique-Arithmétique-Tapas-Céphalée. Cours : combien de tapas peut-on avaler avant d’avoir une céphalée ? Cours de 12 heures en 8 séances de 2 heures). Cible = terminales S en travail de groupe de 4 élèves (pédagogie par projet) : 1) recherche des recettes de tapas et de leur composition pour déterminer quels ingrédients sont susceptibles de donner une céphalée ; 2) y a-t-il une prédisposition génétique à la digestion des tapas ? Evolution génétique et sélection naturelle nécessaire à la synthèse des enzymes digestives qui permettent de digérer les tapas ; 3) calcul de fréquences ; 4) expérimentation : atelier cuisine, conception, puis dégustation des tapas jusqu’à apparition de la première céphalée ; 5) après dégustation, tableau de données montrant le nombre de tapas consommés par chaque membre du groupe ; 6) séance de montage vidéo. Connaissances acquises = sélection naturelle, prédisposition génétique, transmission d’un couple d’allèles, calcul de fréquences, proportionnalités, pression artérielle et circulation sanguine. Compétences acquises = mener un travail de groupe, savoir tirer les infirmations de l’outil informatique, acquérir un savoir-faire culinaire, savoir utiliser une tablette, faire un montage vidéo i-movie. Evaluation = évaluation du film produit (5-10 minutes) par les autres groupes (ce film doit comporter les différentes étapes)
Allons puiser le Zen natif qui est en nous. Cours transdisciplinaire pour manager des projets en économie sociale et solidaire (ESS). Cible = CM/6ème et jeunes pousses d’entreprises. Connaissances et compétences à acquérir = approche ludique et décalée, construction de projets, outils digitaux, être à l’aise avec l’inconnu (agiles dans la disruption), devenir un aventurier dans la cool-éco-construction, travail d’équipe intergénérationnelle. Lieu = à l’intérieur de la rotonde d’un cirque. Evaluation = auto-évaluation avec un baromètre du plaisir/rire à chaque atelier, évaluation des pitchs au riromètre.
Une nouvelle aventure pour Indiana Jones. Cible = tout public, diversité recherchée. Objectif = faire travailler les étudiants sur leur orientation. Connaissances et compétences = connaissance de soi, savoir écouter, savoir communiquer de manière non violente, bienveillance. Descriptif = découvrez les 1944 possibilités pour changer de vie ; une animation pour résoudre ses conflits intérieurs et pour mieux s’orienter. Format = groupe de 6 élèves ; 6 séances de 2 heures (4 étape par séance) : l’apprenant expose son dilemme (son conflit) ; questionnement du groupe ; reformulation pour bien cerner le problème ; proposition de résolution ; retour d’expérience (à la séance suivante) ; 7ème ciel atteint ou pas. Evaluation = 7ème ciel (plaisir).
L’arbre branché. Cible = élèves d’indus USI-Bois industriel. Compétences = être capable de réaliser le mobilier technique d’un parcours « accrobranche » fun et adapté à une clientèle étrangère (en lien avec la communication en anglais). Cahier des charges = étude du site (repérage géobotanique), création (diversité du parcours), choix des matériaux, réalisation d’un cahier des charges en fonction des contraintes clients et du site ; réaliser la matrice (vocabulaire adapté, traduction en anglais et en espagnol, maîtrise du langage à l’oral, à l’écrit et graphique). Connaissances = écrire un cahier des charges et une notice, langues étrangères, EPS (usage des baudriers et harnais), étapes de la vente, connaissances de bois et des matières. Evaluation par paliers = les élèves ne peuvent passer à une nouvelle compétence qu’après avoir franchi le palier de la précédente.
Eléments perçus comme positifs lors de l’atelier par les participants. L’accueil, l’ambiance, les petits cadeaux ; le professionnalisme des organisateurs ; j’ai adoré l’arborescence de la carte mentale ; j’ai adoré l’échange – le meilleur moment de l’atelier a été quand Marc a fait la synthèse de notre travail de groupe en mode « théâtre d’improvisation » ; inattendu, décalé et drôle = la « smurtz attitude », Merci – créer le cours transdisciplinaire et faire émerger un cours improbable, mais construit – imaginer un cours transdisciplinaire sans avoir à y intégrer des connaissances d’experts, juste en faisant appel à son imagination et en se faisant plaisir, sans chercher à ce que cela soit concrètement réalisable – le tableau Velléda sur lequel on a listé les mots – la période de créativité en groupe, riche en idées – la création de l’activité ; les échanges dans l’équipe – réalisation de la séance en groupe – la création de la séquence + évaluation grâce aux 3 exercices – bonne synergie du groupe ; créer une activité ensemble ; créativité rapide – travail d’équipe sur la création de la séquence ; l’évaluation avec la note de 10/20 – création du cours ; les échanges ; l’écoute entre nous – ce qui m’a beaucoup plu a été d’écouter les autres « projets » originaux et inventifs ; travailler avec les membres de mon groupe – la création d’un cours de smurtz – la création du cours de smurtz – échanges et activités animées – la carte mentale qui évolue par le changement de groupe (dynamisme d’équipe, ludique, créatif), Merci – le travail d’équipe avec l’échange, la création, la construction, la production ; la mise en commun des travaux, car c’était drôle ! – la construction de la carte mentale avec la découverte des mots en tournant d’un tableau à l’autre ; l’imagination et l’investissement de chacun ; votre dynamisme – utilisation des ardoises par groupe ; élaboration d’une carte mentale ; « écrire » sur les murs ; dynamisme du formateur – j’ai apprécié le jeu du brise-glace qui permet d’activer la séance et surtout de mettre en relation rapidement les participants qui ne se connaissent pas – la qualité de l’animation ; le dynamisme de l’animateur ; l’accueil ; les idées – accueil ; en peu de temps, réussir à nous faire « créer » avec des contraintes ; le dynamisme du groupe ; Merci ! – la création du cours ; pas vu le temps passer ; bon rythme – les 25 minutes de création du cours de smurtz lors de la dernière partie de l’atelier – J’ai adoré la séance de co-construction du cours de smurtz en groupe ; Merci ! C’était super ! Toujours aussi enjouée en ressortant de la séance !!! – la troisième partie avec la construction du cours = travail d’équipe créative ; Merci ! – l’arborescence de la carte mentale et le travail de groupe – l’arborescence de la carte mentale – la carte mentale – interaction entre les personnes du groupe (personnes venant de tous horizons) – quand on a ri en écoutant les propos ingénieux et farfelus de certains groupes – le décalage, l’humour, les échanges régulés (autorégulés) – les intervenants ; la diversité des activités – j’ai bien aimé le moment de création au tableau blanc en équipe où tous les mots s’accumulaient autour du terme « smurtz » ; Bravo, super moment passé avec vous cet après-midi – méthode facilitant la créativité et permettant de briser la glace ; inspirante – cadence de travail ; diversité des séquences : créativité libre, mindmapping, smurtz ; respect du timing de l’après-midi ; belle démonstration de la puissance créative d’un groupe – la conception en groupe du cours de smurtz = bluffée par le résultat (de chaque groupe) obtenu à partir de mots improbables – la carte mentale ; les échanges – tourner d’un groupe à l’autre et monter l’arborescence autour du mot « smurtz » ; partager la réflexion et l’analyse des uns et des autres – (construire) l’arborescence : partir de mot choisis sans raison pour construire ; la variété des activités (rien de trop long ; un timing qui oblige à avancer) – atelier de 30 minutes pour créer un cours de smurtz ; s’écouter, créer, argumenter pour convaincre ; atelier ludique – la formation avec le smurtz ; j’ai déjà expérimenté cette méthode (lors d’une réunion de professeurs) que j’ai expérimentée ensuite en classe : elle marche exceptionnellement bien ; les élèves sont vraiment motivés – passer de tableaux en tableaux pour rebondir sur les mots = idées des autres participants : l’accueil, quand même ! ; rencontrer de nouvelles têtes – synergie positive du groupe ; originalité du concept ; cadre de travail – j’ai aimé percevoir la créativité dans la transdisciplinarité – le moment des restitutions est toujours un moment de jubilation ! En fait, je vis la séance dans l’attente de ce moment ! C’est toujours émouvant de voir éclore la créativité collective ! – le fait de bouger et d’ajouter les idées sur les cartes mentales = créativité avec « rien n’est mauvais »
Eléments perçus comme négatifs lors de l’atelier par les participants. Frustrée de ne pas savoir au final quel est le meilleur cours de smurtz ou le cours de smurtz que l’on retient – le flop = voir qu’il fait déjà noir et que j’ai deux heures de route – à quoi servait la phrase de 7 mots pour se présenter = pas utile car pas utilisée – difficulté à réagir sur l’arborescence du smurtz – le volume sonore lors de la dernière partie de l’atelier – mon groupe (nombre insuffisant = 4 personnes) – la phrase en 7 mots – écrire une phrase sur « qui je suis » en 7 mots + un verbe = ce que j’ai le moins aimé – présenter mon métier en 7 mots dans une phrase qui contient un verbe = je n’ai pas compris l’intérêt – quelques mauvais choix = trouver le mot en commun, c’est difficile – présenter son métier en 7 mots = frustrant – la phrase en 7 mots – trop de temps pour le projet final ! – l’activité « brise-glace » (échange limité) – l’arborescence de la carte mentale – le temps trop court – la réalisation de la fiche, trop brouillon (on est parti dans toutes les directions) ; difficulté à s’écouter – le temps de parole donné après la mise en commun ; je n’ai pas toujours compris les remarques faites, ni leur intérêt – que faire de cela ? – j’aurais aimé un temps d’échange sur la mise en place d’activités dans mes classes – la production de 3 minutes où il faut raconter un cours de smurtz – le bruit ; la restitution finale un peu longue – le manque de fléchage pour atteindre la salle – salle trop petite par rapport au nombre de participants – la phrase en 7 mots avec un verbe = pas créatrice d’échanges – prévoir des micros pour prendre la parole pendant le pitch final – manque de temps pour voir des mises en situation dans différents cours – la fin trop longue (debrief) ; le bruit constant ; voix trop forte – préparation de la séance : trop de bruit qui a gêné dans le travail – perturbé/adaptation au lycée (dur, dur) – faire le tour devant les tableaux (ennui et désaccord) – quand certaines personnes ont voulu imposer leurs critères et idées sans écouter les autres membres du groupe – l’objectif flou – trop de blabla, bruit, soleil, lieu – j’ai moins apprécié le moment de listing des modes d’évaluation – il serait intéressant d’aborder la manière dont on peut utiliser la méthode en contexte « sérieux » (ingénierie de formation, par exemple) – l’humour par les mots farfelus imposés peut desservir la dimension professionnelle de l’exercice ; rotation des groupes au moment du mindmapping = l’animateur sur téléphone a laissé filé le concentré temps et a quitté l’énergie du groupe ; pas de document écrit pour le droit à l’image – je ne vois pas dans l’immédiat comment transposer un smurtz dans l’une de mes séances avec les étudiants ? – pas assez de diversité dans mon groupe (trop de profs de la même matière) – la frustration de la fin, se retrouver de nouveau seule face aux élèves et réussir à transposer ; accompagner les élèves, c’est bien,… accompagner aussi les profs, ce serait le TOP – le manque de respect de règles dans le groupe parfois ; le principe de groupe (pourtant utilisé très souvent avec les élèves et les collègues) qui frustre quand on n’arrive pas à faire passer ses idées – choisir deux mots à l’unanimité sur les tableaux (sans savoir l’objectif) : il manquait 30 à 40 minutes pour donner des propositions concrètes d’exemples et d’expériences, d’innovations pédagogiques qui marchent (en collège et en lycée : à distinguer) – il est difficile de trouver des côtés négatifs – difficile à dire, étant assez adaptable, mais peut-être pas assez de temps pour lier connaissances avec d’autres groupes – exemple de mise en situation en conditions directes réelles avec étudiants ou élèves – la préparation du cours de smurtz n’a pas intégré ma matière, donc j’avoue que je me suis sentie peu investie dans la préparation ; quelle gestion des déchets dans une demi-journée comme cela (étiquettes plastiques et gobelets en plastique,…) ? – ce que j’ai le moins aimé, c’est d’avoir à formuler ce que j’ai le moins aimé… parce que je n’ai pas trouvé quoi dire ! Merci – j’ai eu l’impression d’être l’élément silencieux (timide) + que les autres dans mon groupe (j’espère que les films seront sur le site)
Notes de Jean-Charles Cailliez, 25 novembre 2017