De la créativité à l'innovation

Archives de mots clés: Expérience

Un « serious game » simple et ludique pour aider les étudiants à utiliser une bibliothèque. A vous de jouer !

Un « serious game » pour comprendre l’utilisation d’une bibliothèque universitaire et l’enseigner aux étudiants.  Il fallait y penser ! Voilà qui a été fait par la Bibliothèque de l’Université Catholique de Lille ces derniers mois par une équipe de développement composée de Marion GERARD, ingénieure pédagogique et Liora LOCHE, bibliothécaire chargée de la communication. Un duo particulièrement créatif ! Découvrez le film qui vous le décrit en cliquant sur ce lien ou sur l’illustration suivante Ce jeu est né d’un double constat, un écart entre les pratiques des « digital natives » et l’offre de formation traditionnelle (problème de motivation) et le fait que les étudiants ne savent pas faire de recherches pertinents (problème de perte de temps ou mauvaises habitudes). Il fallait donc trouver un moyen ludique pour former les étudiants et notamment les plus jeunes d’entre eux à la recherche documentaire. Cette génération d’étudiants est créative, multi-tâches, hyper-connectée, franche et directe. Elle aime les succès collectifs plutôt que la performance individuelle. Elle a l’esprit d’équipe. Elle aime rechercher des astuces pour aller encore plus vite et au but. Les serious games (SG) sont donc des méthodes pouvant rendre plus attrayantes les explications données à ces étudiants pour les aider à mieux utiliser la bibliothèque. Les trois grandes fonctionnalités de… Savoir plus >

Les étudiants peuvent-ils contribuer à la production de leurs connaissances ?

Texte complet téléchargeable sur : Réactions L3 vidéo de François Taddéi En guise d’introduction au cours de Génétique moléculaire en « Do It Yourself », j’ai demandé à mes étudiants de troisième année de Licence de Sciences de la Vie de bien vouloir visionner l’interview sur YouTube de François TADDEI, directeur du Centre de Recherche Interdisciplinaire (CRI), dont le titre était : « Les élèves doivent contribuer à produire des connaissances ». Il s’agissait de les sensibiliser à cette nouvelle démarche d’innovation pédagogique en génétique moléculaire dont l’expérimentation a commencé avec eux le 16 janvier 2014 à la Faculté Libre des Sciences et Technologies (FLST) de l’Université Catholique de Lille. Voici dans le désordre les réactions de Yohan, Charlotte, Olivia, Alexia, Nathan, Eudes, Thibaut(s), Guillaume, Justine, Laura, Mathilde(s), Paul, Clémentine, Hélène(s), Louis, Quentin, Marie, Antoine, Camille, Constance, Apolline, Jean-Guillaume et Cécile. 

Do it yourself et serious game pour une pédagogie innovante à l’université…

Comment transformer son enseignement à l’université de manière à le rendre plus interactif ? Peut-on le faire pour n’importe quelle matière et avec tous types d’étudiants ? Comment mettre en place de nouvelles méthodes pédagogiques plus créatives et innovantes ?  Un exemple est donné ici par la description d’une expérience en cours à la Faculté Libre des Sciences et Technologies (FLST) (http://flst.icl-lille.fr) de l’Université Catholique de Lille. Elle a été imaginée en transformant de manière radicale un cours de « Génétique Moléculaire », habituellement dispensé de manière académique aux étudiants de Licence 3.    Principe : le cours magistral est abandonné au profit d’une méthodologie innovante et 100% collaborative. Le module sous sa nouvelle forme est construit de manière à sortir les apprenants d’une certaine passivité en cours pour les mettre en situation active d’apprentissage et non plus en prise de notes.

Soutenir sa thèse de manière innovante ? I have a dream !

La soutenance de thèse est un exercice imposé dans la majorité des universités françaises. Son déroulé est presque toujours le même. Elle s’exécute par l’impétrant, c’est à dire le doctorant qui la soutient, devant un jury de pairs composé généralement d’un président, de deux rapporteurs ayant livré leur avis d’experts sur la qualité du travail et d’autres membres éminents dont bien sûr le directeur de thèse. Son déroulé est presque toujours le même. Il commence par un exposé de 35 à 45 minutes, puis se poursuit par une série de commentaires et de questions provenant de chacun des membres du jury. Si tout se passe bien, ce qui est souvent le cas, la délibération qui s’en suit proclame « docteur d’université » celui (ou celle) vers qui tous les regards se sont concentrés durant l’épreuve.