Parmi les sujets connexes à la Recherche et l’Enseignement Supérieur, figurent bien en amont la question de l’apprentissage à la lecture, ainsi que celle de l’illettrisme. L’INSEE estimait en 2012 que 7% des français âgés de 18 à 65 et ayant et scolarisés étaient concernés. Je découvre au passage l’existence d’une Agence Nationale de Lutte Contre l’Illetrisme (ANLCI).
L’illettrisme a été déclarée « Grande cause nationale 2013 » par le Gouvernement.
Je découvre un beau projet d’entrepreneuriat social dédié à la lutte contre l’illettrisme : il s’agit du projet « Rêve aux lettres ». Son porteur s’appelle Rémy Perla, c’est un ancien Vice-Président Etudiant d’université (l’Université Louis Pasteur de Strasbourg, avant la fusion des établissements). Comme quoi le goût de l’engagement dans la vie de la Cité ne se perd pas une fois acquis !
Le projet « Rêve aux lettres » s’appuie sur un financement participatif, au travers de la plateforme de crowdfunding (article wikipedia sur ce sujet) KissKissBankBank. Chacun peut ainsi contribuer au financement de la mise en oeuvre de cette idée. Le projet est décrit en détails sur sa page.
Son ambition générale est la suivante : il s’agit de lutter contre l’illettrisme en « ré-enchantant la lecture », par le rêve et l’émerveillement, en proposant de faire correspondre des enfants avec des personnages fictifs membres d’une histoire développée pour chaque enfant.
Le projet s’appuie donc sur un ensemble d’outils susceptibles de produire des textes personnalisés.
C’est mon « coup de coeur » de la semaine, relevant bel et bien de l’entrepreneuriat social : tant dans l’objet que dans la méthode.
Pingback: « Rêve aux lettres » : lutter...