Addict à Twitter (toujours ouvert dans un coin de mon écran), j’y ai découvert pendant l’été l’existence, récente, d’une association dédiée aux doctorants CIFRE en SHS : « ADCIFRESHS ».
La création de l’association a même fait l’objet d’une publication au Journal Officiel durant l’été.
Présidée par Elodie Jimenez (Doctorante à l’université de Rennes, en CIFRE auprès du Conseil Général des Côtes-d’Armor – Présentation de ses travaux sur theses.fr), l’association s’adresse à un public très spécifique, croisant :
– les problématiques propres à la préparation d’une thèse de doctorat en convention CIFRE, un dispositif encore trop méconnu des entreprises (et parfois, des laboratoires). Pour rappel, les Conventions Industrielles de Formation par la Recherche (CIFRE) sont un dispositif géré par l’ANRT (Association Nationale de la Recherche et la Technologie) permettent à de jeunes chercheurs de préparer leur thèse de doctorat au sein d’une entreprise ou d’une organisation publique, en contre-partie d’une subvention annuelle de l’Etat pendant trois ans (par ailleurs éligible au Crédit Impôt Recherche)
– les problématiques propres au secteur des Sciences Humaines et Sociales
Oui : on peut faire une thèse « CIFRE » en SHS au sein d’une entreprise … (C’est mon cas avec Adoc Mètis).
Il s’agit ainsi d’accompagner les doctorants et futurs doctorants dans la préparation et la conduite de leurs projets : comment prospecter et négocier avec une entreprise d’accueil ? Comment rédiger son projet scientifique ? Quelles démarches effectuer ? Quels documents rédiger ? etc.
Encore jeune, l’association a néanmoins préparé une présentation de ses activités (cliquez ici pour la télécharger).
N’hésitez pas à faire circuler l’information auprès de vos contacts qui peuvent être concernés.
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